Remerciements

Contre-jour (détail)

L’Association « Atelier Mathilde Delattre » remercie chaleureusement:

(liste non exhaustive, par ordre alphabétique)

Anne-Marie Delattre-Butez pour les retrouvailles de Crespin, les visuels des tous premiers portraits réalisés par Mathilde, et l’initiative de la première exposition, depuis 1942, d’oeuvres de Mathilde Delattre

Martine Gasnier, qui tient entre ses mains expertes le seul portrait connu de Mathilde Delattre, pour l’idée de l' »Atelier » et du travail à un catalogue raisonné

Charlotte Girard pour sa quête et sa valorisation des oeuvres de sa collection familiale, autour de la « série bretonne » de Perros-Guirec

François Ledru pour son rôle actif dans la collection, le stockage et la restauration d’oeuvres de la « Cousine Mathilde »

Julien Ledru pour son coup de main décisif à la mise en place de ce site sur internet

Jacques Lorphelin pour sa sagacité et sa disponibilité spontanée pour la recension des expositions et des élèves de Mathilde Delattre

Brigitte Merle des Isles pour ses conseils artistiques et éditoriaux avisés

Madeleine Tétin (1900-1972) pour son rôle central dans la collection et la transmission du « Fonds Mathilde Delattre » à Roubaix

Nicole Verniers pour, autour de la traque de « la grande toile » de Mathilde, la redécouverte d’un pan d’histoire familiale commune, heureuse ou difficile, dans les années de guerres

Les archivistes de la BNF, de la mairie de Paris, etc…, pour leur accueil sympathique et leur professionnalisme passionné

Dans l’antre de la BNF, l’enthousiasme des arrière-petit.e.s nièce et neveu de Mathilde est palpable !

(12 juillet 2023)

« Still live » dit-on en anglais pour « nature morte ». Quoi de mort dans celle- ci par exemple, le livre, les fleurs ??? Mathilde Delattre savait que l’esprit ne meurt pas: je suis persuadée que ce qui ne meurt pas sera près de nous toujours, écrivait-elle.

Merci à elle pour cette quête dans laquelle je m’immerge, avec de belles rencontres, et de magnifiques fulgurances autour de l’artiste.

Issu de la famille roubaisienne de l’artiste, les informations rassemblées ici – comme en un puzzle – sont issues bien sûr et tout d’abord des oeuvres et de leur contexte, mais aussi des souvenirs et « secrets » de famille, et d’une correspondance récemment redécouverte entre Mathilde Delattre et sa cousine Blanche Gallais-Tétin, mon arrière grand-mère.

D’autres sources s’ouvrent aussi, à Crespin, à Perros-Guirec, à Paris… Merci à toutes et tous pour ces passionnants et émouvants croisements autour de la vibration de Mathilde – puisqu’elle ne voulait pas qu’on l’appelle « Cousine Mathilde » !

Eric Ledru

sororités d'artistes et émancipation professionnelle féminine